Éoliennes à Solliès-Toucas

Projet  éolien

en  forêt  domaniale  des  Morières

 

Présentation du projet

L’ONF s’apprête à lancer un appel à projet pour l’installation d’un parc de 18 à 20 éoliennes en forêt domaniale des Morières, sur la commune de Solliès-Toucas.

 

Il s’agirait de 18 à 20 machines de 125 m de hauteur totale :

– hauteur de la tour en acier         : 80 m

– diamètre du rotor                      : 90 m (pales de 45 m)

 

implantées en 2 rangées parallèles de 1,5 km de longueur (espacement entre éoliennes : 150 m environ).

 

Ce parc éolien nécessitera le défrichement de 0,50 ha par éolienne et la création d’un réseau de 6 km de pistes desservant chaque engin, soit une superficie totale de forêt à défricher de 15 ha, 12 ha supplémentaires devront également être débroussaillés (abords des voies).

 

Calendrier de mise en oeuvre :

– 2 à 3 ans pour études de faisabilité, étude d’impact et autorisations diverses

– 2 ans pour la réalisation du chantier (préparation, construction).

Objectif du projet

La production annuelle escomptée de ce parc – d’une puissance de plus de 50 MW – est de 118000 MWh, correspondant à la consommation électrique domestique d’une ville de 65 000 habitants.

Impact sur l’environnement

Le projet est localisé au coeur de la forêt des Morières, ancien territoire du monastère de la Chartreuse de Montrieux.

 

Cette forêt, miraculeusement épargnée par les incendies, recèle de très beaux vieux peuplements de chêne vert et de chêne blanc, d’une richesse biologique reconnue (site Natura 2000 et réserve biologique dirigée).

 

Les deux rangées d’éoliennes vont constituer des barrières infranchissables pour les grands rapaces, les oiseaux migrateurs et les chiroptères, leur interdisant une zone d’environ 400 ha, en tenant compte des turbulences générées par les machines.

 

Les paysages naturels dolomitiques ruiniformes de la forêt des Morières, d’une grande beauté sauvage seront immanquablement défigurés.

 

Outre l’impact visuel des éoliennes elles-mêmes, l’intégration paysagère du réseau de desserte, dans un relief accidenté au terrain très rocheux, apparaît impossible.

 

La tranquillité des lieux, jusqu’ici préservée (à l’écart des voies de communication, hormis les sentiers) sera perdue. Au-delà du déroulement du chantier prévu pour durer plus de deux ans, une fois la centrale en fonctionnement, les pistes créées vont faciliter un va-et-vient inévitable à pied, en VTT, à moto, en VL (maintenance).

 

La pollution sonore attendue – bruit émanant des pales et des génératrices au pied des mâts couvrira un secteur d’environ 800 ha.

 

Les effets de ce projet sur la forêt des Morières se révèlent donc particulièrement dévastateurs.

Carte de situation:

CarteEoliennesSolliès-Toucas1

La situation évolue à l’été 2013

Que s’est-il passé en 2013 ?

Dans notre bulletin d’information de janvier 2013, nous vous disions qu’enfin un préfet avait compris que le projet d’allongement de la piste ne tenait pas la route, le rapport d’enquête publique était totalement en défaveur de cette réalisation (extension avec détournement de la rivière) : il y a eu une participation très importante, avec une écrasante majorité d’intervenants se prononçant contre. Donc le 30 novembre 2012 un décret préfectoral mettait fin à ce projet.

Fin ou presque puisque le propriétaire Reybier nous sortait d’un chapeau une variante : allongement de la piste en recouvrant la rivière la Môle.

Mais la fin de l’hiver et le printemps ont été rudes dans la vallée  la Môle :

Beaucoup de pluie, l’aérodrome encore une fois largement inondé durant plusieurs semaines, des remblaiements illégaux destinés à contenir la rivière mais qu’il a fallu évacuer, la presse locale mais aussi nationale déchaînée : « Saisie d’héroïne dans le Var », où, « Dernier vol pour le jet d’Air Cocaïne », en passant par La Môle, « Douanier varois écroué », habilité à contrôler La Môle etc.

Alors M. Reybier propriétaire malheureux aurait-il jeté l’éponge ?

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Nous apprenons que A.C.A. (Aéroport Côte d’Azur) vient d’acquérir l’aérodrome de La Môle.

Ce que ne dit pas le journaliste de Var matin du 27 juillet 2013 : le nouveau propriétaire a-t-il l’ambition lui aussi d’augmenter la capacité de l’aérodrome en allongeant la piste ?

Ce que l’on peut craindre sans prendre beaucoup de risques, c’est que le nouveau propriétaire recherchera tout comme le précédent le profit optimum.

Mais qui est ce propriétaire ?

Société A.C.AAéroport Côte d’Azur, dont le Capital est détenu par :

·       l’État français : 60%

·       la C.C.I. (Chambre de Commerce et d’Industrie) Nice Côte d’Azur : 25%

·       le Conseil Régional de Provence Alpes Côte d’Azur : 5 %

·       le Conseil Général des Alpes Maritimes : 5%

·       la Ville de Nice : 5%

 Réponse facile : l’État !

Il nous reste à imaginer ce que va être le prochain combat entre les associations de défense de l’environnement et l’État.

Voir aussi: http://www.vallee-de-la-mole.fr/

 

 

 

Le point sur les déchets au 08-2013

Où en sommes-nous à l’été 2013 sur le traitement des déchets ménagers et assimilés?

Peu de changements, des discutions stériles, pas de décision allant dans le sens du traitement de cette difficulté bien identifiée depuis de nombreuses années, des procédures judiciaires entre les différentes entités concernées :

  • l’État ou la DREAL (Direction Régionale de l’Environnement de l’Aménagement et du Logement),
  • les communes qui supportent les nuisances générées par les installations d’enfouissement,
  • les syndicats de gestion de ces installations,
  • les associations de défense de l’environnement,
  • mais aussi et surtout PIZZORNO, le maître en matière de traitement des déchets en PACA.

Tonnage à traiter:

– Incinération  245.000 t. Centre de Lagoubran proche de Toulon et concernant l’agglomération toulonnaise

– Recyclage : 180.000 t

– Enfouissement : 530.000 t réparties sur 4 sites (les tonnages suivants correspondent à des capacités définies par des autorisations préfectorales et pas nécessairement à des quantités traitées):

(Chiffres approximatifs, il est très difficile de disposer de valeurs fiables)

Le Cannet-des Maures ou le Balançan : capacité légale 255.000 t/an

Mais masse traitée beaucoup plus importante selon le maire du Cannet et les associations locales.

Le site largement saturé est en sursis depuis plusieurs années.

Mais  « Coup de force légal » Var matin 7 mars 2013

Voilà que Pizzorno-Sovatram, qui se déclarait alors « confiant en l’avenir de son site », remet le couvert. Sans attendre les conclusions de son appel, il a redéposé sa demande d’exploitation auprès de la préfecture. « L’exploitant tente un coup de force légal, avec la complicité à peine voilée de l’État, pour imposer son site jusqu’en 2020, voire plus loin », s’emporte le premier magistrat du Cannet Jean-Luc Longour et sa majorité en appellent ainsi à l’union sacrée contre ce projet.

La suite :

L’ouverture d’une enquête publique demandée par la préfecture, relative à l’exploitation jusqu’en 2020 du site 4 du centre d’enfouissement du Cannet réveille les pires craintes. Celles de voir la décharge pérennisée à plus long terme.

Avis d’Europe Ecologie les Verts :

Des nuisances environnementales mal maitrisées Le rapport provisoire de synthèse du Cabinet A. Vernet montre l’impact grandissant au cours du temps des pollutions engendrées autour de la décharge de Balançan et en particulier sur les cours d’eau du Riautort et de l’Aille, qui vont alimenter de leur pollution l’Argens et la côte varoise. Il est très surprenant par exemple qu’aucun suivi de pollution ne soit ni effectué ni demandé sur le Riautort, qui passe au bas du versant Nord de la décharge.
La décharge de Balançan avec ses 10 millions de tonnes de déchets accumulés depuis 40 ans a atteint ses limites de bon fonctionnement. Les casiers 1, 2 et 3 du fait de leur création ancienne ne sont pas aux normes d’étanchéités demandées aujourd’hui aux centres d’enfouissement. Aujourd’hui l’exploitation de cette décharge de Balançan devrait être arrêtée pour des questions environnementales et sanitaires et un plan de mise en sécurité du site engagé…….

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Décision de l’Etat en attente !

Bagnols-en-Forêt : capacité légale 135.000 t/an 

(juillet 2013): commentaire du Président de l’association locale ABI . (Association Bagnolaise d’Information), membre de l’UDVN83.

Le site 3 est plein et donc fermé depuis octobre 2011. Aucun accord n’a pu intervenir pour permettre à la Mairie de mettre à la disposition du SMIDDEV (Syndicat Mixte Intercommunal du Var-Est pour le traitement des Déchets Ménagers comprenant notamment Fréjus et Saint Raphaël) un terrain, propriété privée de la commune, pour constituer le site 4. Un contentieux juridique existe avec l’exploitant Groupe Pizzorno. Aucun Maire n’accepte d’ouvrir une ISDND (Installation de Stockage des Déchets Non Dangereux) sur son territoire. Le conseil Général n’est pas prêt de sortir un Plan Départemental de traitement des déchets.

Pierrefeu (Roumagayrol) capacité légale 115.000 t/an  réceptionne les déchets de 23 communes

Fonctionne au-delà de ses capacités. Opérateur incontrôlable : Pizzorno.

Le conseil général proposerait de porter la capacité à 580 000 tonnes.

L’augmentation des tonnages induite par l’extension doit prendre en compte le réseau routier inadapté. Les Pierrefeucains manifestent régulièrement contre les nuisances et le sentiment d’insécurité généré par le trafic des semi-remorques qui traversent de jour comme de nuit le centre du village

Titre de Var matin du 10 juillet 2013 : « Le Maire de Pierrefeu bloque l’accès aux camions » Il s’agit d’un projet de contournement en dormance de la route qui voit passer les défilés de camions.

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Nul ne peut nier qu’il reste de la surface disponible autour du centre « d’enfouissement » actuel de Pierrefeu-Roumagayrol. Si, les défenseurs de l’environnement ! Parmi eux une petite mais vaillante association locale (Association des Riverains du Real Martin) supportée par l’UDVN83.

Ginasservis, capacité légale 22.000 t

Petite commune du haut Var, petit centre de traitement géré par le Syndicat Mixte de la Zone du Verdon

L’activité de ce centre semble se dérouler sans heurt majeur, l’ouverture d’un troisième « casier » devrait permettre la poursuite de l’activité durant quelques années.

Pourquoi n’avance-t-on pas :

  • La gestion ou l’élimination des déchets est une question très complexe car sa mise en œuvre est particulièrement contraignante. Une installation nécessite beaucoup d’espace, est coûteuse, génératrice de nuisances, indésirable pour les municipalités.
  • Les projets sont freinés par des contraintes administratives insurmontables. Il existe pourtant des solutions techniques fiables, éprouvées, qui en valorisant une fraction importante des déchets permettent de limiter considérablement l’enfouissement.
  • Nos fonctionnaires ne sont pas capables de faire appliquer la réglementation.
  • Aucun maire n’accepte d’avoir une installation de traitement de taille raisonnable sur sa commune.
  • Le Plan Départemental de Traitement des Déchets Ménagers publié en janvier 2004 sur la base de données de 2001 (12 ans !) est obsolète et le Conseil Général du Var n’a pas l’ambition d’établir un nouveau Plan qui serait volontariste et non pas dicté par le Groupe Pizzorno.
  • Le Groupe Pizzorno fait la « loi », Il détient une position de quasi monopole dans le Var et ne respecte presque aucune règle. Il s’est vu infliger en décembre 2011, plus d’un million d’amende, 623 condamnations pour malversation et pollution volontaire par le tribunal correctionnel de Draguignan. Condamnation qui a été confirmée le 12 juin 2013 à Aix-en-Provence. Cette société très procédurière évidemment va en cassation mais plusieurs associations dont FNE, UDVN83, CNIID (Centre National d’Information Indépendante sur les Déchets), ABI (Bagnols en Forêt) sont parties civiles.

Pendant près de 10 ans, l’entreprise Pizzorno a fait stocker et enfouir sur le site de Bagnols-en-Forêt, réservé aux déchets communs des tonnes de mâchefer, ces déchets toxiques produits de l’incinération d’appareils ménagers. Bravant des interdictions préfectorales, ayant fait usage de faux, pris en flagrant délit de pollution de l’environnement………

  • Les industriels continuent à pratiquer le suremballage sans aucune contrainte légale.
  • La population n’a pas compris les enjeux, ne fait pas un tri judicieux des déchets qui diminuerait les quantités à enfouir.

Ce que l’on redoute, l’éclatement d’une crise grave que l’on voit poindre en observant sa progression lente mais persistante, en l’accompagnant de palabres et d’actions judiciaires longues, coûteuses, que l’on saura certainement contourner par une astuce certainement légale ! Mais si nos poubelles n’étaient plus ramassées ? Catastrophisme diront certains, craintes fondées répliqueront d’autres !


 

Situation à l’été

LA SITUATION DU PROJET LGV PACA A L’ÉTÉ 2013 A ÉVOLUÉE

Pour vous donner des informations récentes et condensées nous ne pouvons pas faire mieux que de reprendre un article de Var matin du 15 juillet 2013 qui nous semble très bien résumer la situation :

A l’issue de l’arbitrage récent de Jean-Marc Ayrault, Var-matin essaie de vous éclairer en quelques points sur ce dossier particulièrement long et compliqué

Mardi 10 juillet, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, a dévoilé son plan d’investissement pour les grands projets de transport. La commission « Mobilité 21 » présidée par Philippe Duron, député PS de Caen, avait présenté ses conclusions le 27 juin. Elle préconisait l’abandon du projet LGV Paca et « zappait » notamment Nice tout en préservant Marseille à qui l’on concédait une nouvelle gare souterraine et une 3e voie entre Marseille et Aubagne qui permettra d’améliorer le trafic TER dès 2015. Le Premier ministre a finalement arbitré entre plusieurs scénarii, et choisi de replacer la Baie des Anges au rang des priorités, en lui octroyant notamment de nouvelles voies entre Cannes et Nice. Au final, et bien que le projet initial et somptuaire de LGV Paca soit repoussé à de très lointains horizons, les usagers varois devraient très vite percevoir de sensibles améliorations.

Nouvelle carte 15-07-2013

Explications en 10 question-réponses.

 

1. La LGV enterrée ?

Oui et non. Oui, dans un premier temps car le premier projet global, très onéreux, permettant de relier Nice à Marseille en 1 h 10 ne se fera pas en une fois. Non, car cette ligne, si elle ne s’appellera plus LGV mais « Ligne nouvelle ferroviaire Provence Côte d’Azur », se fera tout de même, par tronçons. Mais il faudra être patient, très patient pour la voir un jour achevée.

 

2. La nouveauté ?

Le gouvernement a acté deux éléments importants : une gare Saint-Charles souterraine ainsi que des voies nouvelles entre Cannes et Nice : « Il s’agit de doubler la voie ferrée sur cette partie dans des conditions qui restent à affiner »,souligne Jean-Yves Petit, vice président de la Région Paca, délégué aux transports.

 

3. Quels investissements dans le Var ?

Aucun pour l’instant. Les aménagements de cette nouvelle ligne dans le Var figurent au 2e rang des priorités. Ils ne seront donc pas réalisés avant 2023.

 

4. Qu’est-ce que la nouvelle ligne Cannes-Nice va apporter aux Varois ?

« Cette nouvelle infrastructure débouchera sur le futur pôle d’échange multimodal et international de Nice aéroport », précise Bernard Kleynhoff, le président de la CCI (Chambre du Commerce et de l’Industrie) des Alpes-Maritimes. Les Varois pourront donc directement rejoindre l’aéroport par le train…

 

5. Les Varois vont-ils gagner du temps pour aller à Paris, Marseille ou Nice ?

La nouvelle gare de Marseille devrait permettre de gagner 10 minutes sur un trajet Paris-Toulon. En revanche, les Varois ne gagneront pas vraiment de temps pour aller à Nice.

 

6. Est-ce une révolution ?

Aucune nouvelle infrastructure ferroviaire n’a été réalisée par l’État depuis la construction de la ligne existante au XIXe siècle.

 

7. Va-t-on mieux circuler en TER ?

Oui. La mise en service d’une 3e voie entre Marseille et Aubagne dès 2015 permettra déjà d’améliorer le trafic TER. De 4 trains par heure et par sens en heure de pointe, dont 3 sont prolongés jusqu’à Toulon, on passera à 7 trains/heure/sens entre Marseille et Aubagne, et 4 trains jusqu’à Toulon. À l’horizon 2025-2030, la nouvelle gare souterraine de Marseille devrait augmenter de 55 % la capacité d’accueil des TER selon les estimations de Réseau Ferré de France. Sur la ligne Marseille-Aubagne, cela se traduira par la possibilité de faire circuler un 8e train par heure et par sens en heure de pointe. Mais rien de plus jusqu’à Toulon. En revanche, les voyageurs circulants à bord des trains grandes lignes, y compris des TGV gagneront 10 à 15 minutes.

 

8. Cette offre ferroviaire sera-t-elle suffisante pour délester les routes ?

« On peut imaginer qu’avec 50 % de TER en plus, une meilleure régularité et plus de services, certaines personnes choisiront désormais de prendre le train »,avance Jean-Michel Cherrier, chef de mission de la nouvelle ligne. La nouvelle ligne Cannes-Nice devrait également intéresser de nombreux citoyens et soulager le trafic routier.

 

9. Quid des dessertes ferroviaires de l’aire toulonnaise ?

Pour améliorer ces dessertes, Jean-Yves Petit, vice-président du conseil régional, évoque d’autres pistes. Notamment les travaux de modernisation, à partir de septembre 2014, de la voie entre La Pauline et Hyères. Une étude en cours réfléchit par ailleurs à la façon d’augmenter la fréquence des TER sur les lignes Carnoules-La Pauline-Toulon d’une part, et Hyères-La Pauline-Toulon d’autre part. « On travaille également à l’ouverture de nouvelles haltes. Au niveau de l’hôpital Ste-Musse par exemple »,ajoute l’élu écologiste. Avant d’appeler à « une nécessaire complémentarité avec le réseau de transport urbain toulonnais »

 

10. Donc, une gare à Marseille, une ligne nouvelle entre Cannes et Nice… Et le reste des voies ?

« Au-delà de 2030, on aura besoin d’une infrastructure tout le long du parcours pour compléter le projet », explique Jean-Yves Petit à la Région.

« L’objectif est bien de poursuivre les investissements au-delà de cette première phase pour voir Nice relié à Marseille par le train en 1 h 10 »,ajoute Christian Estrosi, le maire de Nice.

Pour compléter cet article, il convient de préciser que les nombreuses associations opposées aux différents tracés proposés jusque là, restent très mobilisées. Dans tous les cas, de nombreuses communes seront touchées par une construction de ligne nouvelle. La densité de l’urbanisation dans le Var réduit les chances de trouver une solution satisfaisante pour tous.

 

Compte-rendu de l’A.G. du 8 août 2013

Pour accéder au  “Compte-rendu” cliquer sur le lien: Logo PDF  CR AG 2013